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The podcast of confettiS.org speaks about electronic and poetic reviews. Thanks2Aliette_Guibert.
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_Citron_
13 juillet 2008 22:53 : _Cafe_,_Citron_,_Citron_,_Marseille_Merveille_Soleille_,Tous,vdoS : confettiS

Le citron vert pressé, au levé, à jeun,
saisit la langue.
Les lettres se forment, L’acide à pleine bouche, l’amer bonjour de l’être,
s’avère acide, lettre après lettre.

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_Le Cavalier Masqué_
22:51 : _Doc(k)s en 80 mondes_,_Doc(k)s_,_Julien C Blaine :: Christian J Poitevin_,_La quatri,_Le Cavalier Masqu,_Marseille sur Doc(k)s_,Tous,vdoS : confettiS

En politique : suis-je un Zorro ?
Ou un Zéro ?
Ou un Z’héros à 2 €uros ?
En octobre 2006, julien Ch. blaine & christian J. poitevin,
« abandonne (aussi) la politique ».
Et pourtant, quel amour pour quelle ville !
Je partage cette amour, mais je suis « estrangin ».
Et le pouvoir vieux, sclérosé, à l’agonie de lui-même, brûlé
par les radiations de sa « tu_meurs ».
Le pouvoir s’est donné à vivre un cancer pour la ville,
pour voir mourir Marseille et constater l’étendue de sa puissance.
Tu meurs. Je meurs. La ville ne meurt jamais.
Elle vit à travers les connaissances de ses habitants, au-delà
de ses habitants. Pour me faire mentir, avant de partir en Corse,
je ne passerai pas par Paris…/…
jene passerai papar Paris…/…
jee passerai ppar Paris…/…
je passerai par Paris…/…

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_Julien C Blaine :: Christian J Poitevin_
18:47 : _Doc(k)s en 80 mondes_,_Doc(k)s_,_Julien C Blaine :: Christian J Poitevin_,_La quatri,_Marseille sur Doc(k)s_,sonS,Tous : confettiS

Alors, Marseille, où est-elle ? Tout autour. Dans le bruit de moto qui vous a assourdi si vous avez écouté l’interview ci-dessus.
Dans les sons des rues, les bonjours, l’espoir d’être enregistré, d’être présent quoiqu’il arrive.
Sous le soleil tout le monde peut briller, n’est-ce pas ? Le quart d’heure de popuralité promis à chacun, existe ici, par exemple, sur les plages du Prado, celle des Catalans, Sugiton, et la solitude
du bout du monde à Callelongue…
C’est de là, qu’il faudrait prendre le bateau pour la Corse. Mais le port est si petit que quatre pointus le bouchent. Qu’importe nous prendrons l’avion.

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_La quatrième vie de Doc[k]s_
18:38 : _Doc(k)s en 80 mondes_,_Doc(k)s_,_La quatri,_Marseille sur Doc(k)s_,sonS,Tous : confettiS

A nouveau, un quai sur un port où Julien Blaine, Philippe Castellin, Jean Torregrosa commencent un parcours numérique et poétique. Pratiquant le numérique et le poétique comme un voyage en mer avec les doigts,
les bras, la tête, le corps tout impliqué…

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_Doc(k)s en 80 mondes_
18:11 : _Doc(k)s en 80 mondes_,_Doc(k)s_,_Julien C Blaine :: Christian J Poitevin_,_La quatri,_Marseille sur Doc(k)s_,sonS,Tous : confettiS

Doc[K]s fait son chemin de première vie, avec l’amitié
comme moteur. Le voyage, Les voyages font sens avec le corps
le corps nomade. Julien se confronte à ce qu’il aime,
ce qu’il pense, avec l’Amérique Latine, comme vous venez
de l’entendre. Avec l’extrait sonore suivant, nous commençons
dans les années 1988. Que faisiez-vous en 88 ? Julien vous le
raconte…

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_Marseille sur Doc(k)s_
17:50 : _Doc(k)s en 80 mondes_,_Doc(k)s_,_Julien C Blaine :: Christian J Poitevin_,_La quatri,_Marseille sur Doc(k)s_,sonS,Tous,vdoS : confettiS

Nous voilà à Marseille. Face au escalier de la gare Saint-Charles
que Julien C Blaine ou Christian J Poitevin a dévalé d’une chute.
Alors quid de Doc[k]s, cette revue poétique et, plus tard, numérique.
Nous savons à présent, comment elle est née. comment a-t-elle vécu ?
« Bien, ma foi », puisqu’elle vit toujours…
Je vous propose de découvrir cela en écoutant la bande son suivante,
intitulée: « le tour de Doc[k]s en 80 mondes ».

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_Café_
11 juillet 2008 17:44 : _Cafe_,_Citron_,_Marseille_Merveille_Soleille_,Tous,vdoS : confettiS

Juste un café…
Prendre un café après cette nuit grasse,
ce matin acide,
toucher de la langue,
une douceur amère noire, et grasse.
Puis j’irai acheter le billet de train pour Paris…

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_Premier_pas_sur_le_sable_
5 juillet 2008 18:30 : _Cafe_,_Citron_,_Marseille_Merveille_Soleille_,Tous,vdoS : confettiS

Ici, la mémoire glisse et s’efface sous les traces de pas.
Le sable est là, glissant chaud sous les pieds nus.
Aux voyages succèdent un voyage
Les mers sont des ruisseaux
les hommes les enjambent,
laissant sur la plage leurs empreintes apratides,
en tous sens, pareilles.
J’ai l’impression que nous jouons tous autour d’une même flaque
la méditerranée.

Arrêt à Marseille. Je descendrai du train pour vivre ici.
Notre prochaine rencontre : Julien C. Blaine & Christian J. Poitevin

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_Auteur :: le travail du lecteur_
16:28 : _Alire_,_Auteur :: le travail du lecteur_,_Editeur ,_Editeur :: Alire :: l,sonS,Tous : confettiS

Qu’en est-il de l’oeuvre lorsque l’auteur part d’une proposition telle que  » si… Alors…  » et l’applique, non pas aux écrits numériques mais aux écrits papier.
Que se passe-t-il pour le lecteur ?
Qu’est-ce que cela, une  » littérature contraignante  » ?
En souhaitant que cette courte intervention sonore vous éclaire.
Sinon je vous propose d’écouter les suivantes…

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_Editeur à l’auteur :: Araxé :: Alire_
16:28 : _Alire_,_Auteur :: le travail du lecteur_,_Editeur ,_Editeur :: Alire :: l,sonS,Tous : confettiS

Dans cette seconde partie d’interview concernant les revues électroniques & poétiques, Philippe Bootz nous présente les revues comme des espaces propices aux expressions d’avant-gardes.
Avec Alire, Philippe développe la proposition à partir de laquelle nait sa création, le « Si… Alors… ».
Ce « Si… Alors… » est une charnière entre l’éditeur qui crée un espace propice à l’expérimentation de son oeuvre, et l’auteur. Comme vous venez de l’entendre, dans l’interview ci-dessus, La revue permet de développer un espace où la lecture de l’oeuvre est individuelle. Ce qui soulève le problème de l’exposition publique d’une oeuvre concue pour être consultée individuellement.
Les interviews qui suivent vont tenter de mieux comprendre les implications de cette proposition « Si… Alors… » pour l’auteur.
Bonne écoute.